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30 novembre 2006

Doux plaisir, don des dieux (suite)

Rien n'existe en dehors de l'amour. Même le plaisir a un goût bien fade quand il n'est pas la conséquence, l'immanence du bonheur d'aimer. Le désir qui grandit en nous face à l'être aimé surpasse toute autre sensation. Sentir le corps, la peau, l'odeur de l'autre, l'unique, l'être aimé, efface tout. Cette douce attirance qui rejoint les amants et les emporte dans un tourbillon unique, sans l'amour, n'est rien qu'un phénomène physiologique, une formule de chimie..

1 commentaire:

Anonyme a dit…


Nous nous aimons avec le plaisir de nos corps en plus!
Pierre