sont comme les figues mûries sur les rochers élevés :
Les vautours les mangent, ô Diphile, et les corbeaux.
écrit par Straton de Sardes (traduit par Roger Peyrefitte)
1 commentaire:
Baron Noir
a dit…
Doux fruits amers, qui passent à notre portée sans que nous puissions les saisir... Dans le métro, au café ou à la gare, qui n'a jamais trouvé étrange la présence d'anges parmi nous ? A qui sont-ils réservés ces princes qui effleurent notre vie sans la croiser ? Doux fruits amers, qui suis-je pour vous regretter...
Bien à vous et merci pour ces quelques vers (superbement illustrés !)
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Doux fruits amers, qui passent à notre portée sans que nous puissions les saisir...
Dans le métro, au café ou à la gare, qui n'a jamais trouvé étrange la présence d'anges parmi nous ? A qui sont-ils réservés ces princes qui effleurent notre vie sans la croiser ?
Doux fruits amers, qui suis-je pour vous regretter...
Bien à vous et merci pour ces quelques vers (superbement illustrés !)
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