Jeune éphèbe cinghalais se faisant tatouer |
Ô beauté ! Comment donc m’as-tu fait ton esclave ?
Par quelle aube d’amour, par quel soir, par quels sorts
Ai-je été lanciné d’une émotion grave,
Et condamné, depuis, à souffrir de l’entrave
D’un beau visage ou d’un beau corps ?
1 commentaire:
The deeper I delve into your blog, the more I wish I had learned French in school. Google Translate does not do justice to your writing, whether prose or poetry.
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