Notre jeune dieu voyage beaucoup en compagnie de photographes, de maquilleuses, d'habilleuses et pose pour de nombreux shootings de mode. Le voilà à New York, puis à Los Angeles, ailleurs encore.
On le retrouve aussi dans sa vie privée (rendue publique sur les réseaux sociaux si impudiques et fouineurs). Qu'il pose ou se montre au naturel, surpris par l'objectif d'un ou d'une de ses proches, il reste divin.
Et celle-ci, très Bruce Weber des années 80... Les jeunes dieux dans le Parnasse, cela doit ressembler à ces types, non ?
On peut imaginer une belle histoire d'amitié entre ces deux-là. Une fraternité profonde, totale. de ces "bromances" qui devraient être le quotidien des garçons qui un jour comprennent qu'ils ressentent une peu plus que de la camaraderie pour leur voisin de table ou de dortoir au collège, à la piscine, au gymnase ou dans les vestiaires. un titillement au plus profonde soi qu'on craint trop souvent d'écouter et qu'on enfouit très loin dans sa tête. Parce que cela fait peur... La peur d'être différent, la peur de la violence et du rejet... Un instinct de survie...
Les choses sont bien plus avancées qu'il y a trente ou cinquante ans, mais l'hypocrisie demeure et le risque que de pauvres tarés rigoristes et cul-de-plombs reprennent le pouvoir des esprits et qu'aimer un garçon et vouloir simplement vivre cet amour redevienne, comme c'est hélas déjà le cas dans certains pays - et pas que des pays arriérés du tiers-monde, un crime, une forfaiture...
2 commentaires:
Et en ce moment, en France, la différence devient un enjeu politique, pour et contre confondus!
Les dieux sont éternels. Steven Chevrin passera donc tout l'été avec sa beauté solaire et fera barrage à tout concurrent. Hadrianus achève-t-il ainsi son blog?
Bel été.
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