"Bravo pour ce blog et en particulier cet article qui, sans que j'y prenne garde, m'a permis de voir les choses un peu plus clairement concernant les questions qui taraudent tout jeune homme dans la situation que vous évoquez. J'ai trouvé cet article tellement juste. "
Un jeune lecteur anonyme m'a envoyé ce message il y a quelques mois.Je lui ai répondu par mail sans avoir de réponse à ce jour. Il faut dire que ma vie est bien remplie depuis plusieurs mois et que j'ai bien délaissé ce pauvre blog qui semble bien abandonné bien qu'il soit encore et toujours très visité... Me revoilà donc, de retour à New York après des semaines en déplacement. Mes nouvelles activités de conseiller indépendant m'ont éloigné du monde de Wall street et c'est très bien. moins de pression, moins de stress et aussi moins d'embarras devant ce cynisme ambiant et cette fuite en avant perpétuelle de mes anciens camarades. J'aime New York en hiver. j'aime ma vie à New York en hiver. Really, I do. j'ai passé les dernières semaines en Angleterre. Londres est une ville fantastique. je n'y étais pas retourné depuis la fin de mes études. Mais me revoilà dans la routine de notre vie yankee. Joie de retourner chez Zabar's acheter mon fromage et mes charcutailles, joie de retrouver les amis autour d'un repas italien improvisé à la maison et Brinkley, notre vieux chien, qui se fait vieux et se languissait de retrouver son maître...
mais revenons à ce jeune lecteur inconnu. j'imagine qu'il n'a pas vingt ans ou à peine. Qu'il promène sur la vie un regard un peu désabusé, inquiet de ce qu'il est, de ce qu'il ressent au tréfonds de lui. J'ai aimé ses mots et la franchise avec laquelle il s'est adressé à moi par le biais de ce blog. S'il me lit encore, qu'il n'hésite pas à m'écrire encore pour me raconter ce qui le taraude encore et comment il vit, ce qu'il vit... Je lui en serai très reconnaissant, vraiment.
mais revenons à ce jeune lecteur inconnu. j'imagine qu'il n'a pas vingt ans ou à peine. Qu'il promène sur la vie un regard un peu désabusé, inquiet de ce qu'il est, de ce qu'il ressent au tréfonds de lui. J'ai aimé ses mots et la franchise avec laquelle il s'est adressé à moi par le biais de ce blog. S'il me lit encore, qu'il n'hésite pas à m'écrire encore pour me raconter ce qui le taraude encore et comment il vit, ce qu'il vit... Je lui en serai très reconnaissant, vraiment.